1952. L'asile de St. Dymphna accueille de nombreux patients, meurtriers, malades ou même sorcières de toutes origines. Et vous, pourquoi êtes-vous ici ?
 
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« Sorry, I was dead. What did I miss ? » || Arthur K.

Arthur Kirkland
Localisation : Peut-être encore à la morgue.
Statut : Avant j'étais schizo, mais maintenant on va mieux.
Messages : 27
Date d'inscription : 08/04/2016
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Arthur Kirkland
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Sam 16 Avr - 3:01



Arthur K. → diagnostic

« London Bridge is falling down, falling down, falling down... London Bridge is falling down, my fair lady... »
Persona
○ Né à Londres le 23 avril 1929 (23 ans).
○ Fierté anglaise, rock 'n roll.
○ Soumis à la drogue pendant 8 mois.
○ Persuadé de l'existence d'un alter-ego.
○ Asexuel.
○ Accorde plus d'importance à la vie d'autrui qu'à la sienne.
RPs en cours
○ …
○ …
○ ...
Around
○ Patient régulier de la morgue.
○ Généralement seul.
○ "En couple" avec Marianne Bonnefoy.
○ Décédé 12 fois.





RPs terminés
○ …
○ …
○ ...





Personal
They made my life and my death

Clarice

La pouffiasse

« Ne m'en veux pas... Je fais ça pour ton bien... »
« Ta gueule. » La cause de cette nouvelle vie à l'asile, c'est elle. Clarice, son ex-petite amie, a suivi du début à la fin la chute de l'anglais dans la descente aux Enfers; autrement dit son histoire d'amour avec la drogue. Trop peureuse, elle n'a jamais su l'arrêter ou oser l'arrêter. Cacher ses seringues, lui retirer ses joints, lui crier dessus un bon coup, c'était trop demander pour le courage trop maigre de la miss. Elle ne voulait qu'une chose : le bonheur d'Arthur. Ou alors elle se foutait de lui et laissait croire qu'elle le soutenait, juste pour faire bonne figure et pour ne pas qu'il ait à l'engueuler. Elle avait peur de ses haussements de ton et des réflexes violents qu'il pouvait avoir. Tout les deux n'ont jamais officiellement rompu, mais pour Arthur, c'est clair : tout s'est terminé entre eux lorsqu'elle a appelé St. Dymphna pour qu'on l'embarque. Elle ne lui a rendu visite que rarement à l'hôpital, et elle s'est caché lorsqu'il a quitté Londres pour aller vivre chez les fous. Il lui en voudra toujours, et ne la considérait même pas juste comme une ex, tellement il a la rage d'être tombé ici par la faute d'une telle chochotte...

Oliver

L'autre lui

« Je suis toi. Je suis la perfection que tu cherches. J'attends d'avoir ma place. Meurt pour me laisser la tienne. »
« J'essaye, mais je n'y arrive pas... » Il ne l'a vu qu'une fraction de seconde, en pleine overdose, alors qu'il était en équilibre sur la corde qui le séparait de la mort. Et à la seconde où il disparut, Arthur comprit. Ce jour-là, il avait vu la raison de son décès. Il n'était pas mort, mais il aurait dû. Il aurait dû devenir cet autre lui enfoui au fond de sa personne, là, frustrée, en colère, tapant des parois invisibles pour s'échapper. Mais Arthur avait survécu, et il représentait l'unique obstacle. Les habitudes suicidaires proviennent de là. Si Arthur meurt, peu importe le nombre de fois où on le ramènera à la vie, il est persuadé qu'Oliver finira par le remplacer. Au-delà, des tics imaginaires que l'anglais lui a donné font de ce dernier quelqu'un de psychologiquement instable. Une question reste cependant sans réponse : Arthur est-il fou, ou est-ce juste la confusion d'Oliver qui donne cette illusion ?




People
They make my everyday, my everynight, my everywords

Berwald

Le menuisier de l'horreur

« T'inquiète, sois convaincant. Dis que... Tu m'as cherché. »
« Désolé d'avance, hein. » Bien qu'il ait le lourd dossier d'un fabricant de meubles exclusivement en os humains, Berwald semble avoir toute sa tête, sinon Arthur n'aurait jamais prit un peu le goût à se faire des amis – si on peut dire. Il est l'un des seuls à l'avoir accueillir sans préjugés, car après tout, ils logent tous à la même enseigne et sont réduis au même titre de fous. Côté gente masculine donc, c'est pas vraiment un bro, mais il est un peu la voix de la raison, puisqu'il a connaissance des manières de l'asile depuis déjà un moment. Si vraiment le britannique est perdu, il pourra toujours se tourner vers lui. Contrairement à ce que son apparence laisse croire, il peut avoir la tchatche quand on l'y entraîne un peu, et donc enseigner des choses très intéressantes. C'est tout de même grâce à lui, en partit, qu'il a su appréhender les comportements du personnel de l'établissement. Il lui sera toujours redevable pour cet accueil « positif en son genre » et pour les quelques mots dignes de « l'asile pour les nuls ».

Marlene

Keupine

« Je vais t'apprendre un truc alors : j'adore décapiter les gens, surtout les chieurs comme toi. »
« Ça, je le savais déjà. » Au même titre que Berwald, Marlene est une sorte de « guide » pour connaître l'asile, avec cependant beaucoup moins de tact et de contrôle. Clairement, il n'a rien contre elle. Cependant, tout ce qu'il a principalement retenu de sa personne, c'est qu'elle est « ouverte » à tout et puérile sur les bords. La taquiner un peu, c'est rigolo, mais gaffe à ne pas en abuser, car son visage en a déjà fait les frais. Il sait des petites choses sur le passé de la danoise, mais veille à ne plus jamais en faire mention, pour cause de points de suture sévères au visage par coups de chaise... C'est fou, cependant, comme un coup d'éther dans le nez peut aider à construire une amitié ! Et étrangement, depuis, tout les deux semblent mieux s'entendre... ? Devenue une alliée plutôt précieuse dans son entourage, Marlene reste une pseudo-leader quand il s'agit de survivre et cohabiter dans l'asile.

Marianne

Précieuse

« Une clope pour toi Monsieur Grognon... »
« Je t'avais dis de pas t'attacher... » Autrefois une prostituée un peu lourde et collante qui partageait ses cigarettes avec lui, la française est désormais la... petite-amie d'Arthur. Dingue, eh oui, alors qu'il n'avait que peu d'humanité pour lui et grimaçait à l'allusion de la moindre relation amoureuse depuis Clarice. Au début, il n'était pas tout à fait chaud pour partager ce nouveau couple... mais maintenant, sans trop se l'avouer, l'anglais éprouve des sentiments qui ne lui font que trop rarement prendre conscience de l'importance de sa propre existence. Marianne est pour lui un petit bijou qu'il garde secrètement comme sa propriété - avec un amour très peu démonstratif - et qu'il s'obstine maintenant à rendre heureuse grâce à l'espoir de voir Oliver se réveiller un jour... Il ferait tellement mieux que lui, après tout.

Lovino

La tapette

« Pourquoi t'as des chenilles sur la tête... ? »
« … T'es con ? » Des hommes dans l'asile, il en a vu des jeunes, des vieux, des courageux, des un peu idiots, mais Lovino a une palme unique : il est sortit d'un monde où la logique c'est 2 + 2 = 6 et où les méchants sont partout. Il le trouve gentil, dans le sens où il est complètement inoffensif (enfin, sûrement pas trop, puisqu'il crèche à St. Dymphna) et perdu dans des situations absolument normales. La paranoïa drôlement exagérée de l'italien amuse facilement Arthur, puisqu'il réagit à absolument n'importe quoi. Lui filer la pétoche avec le moindre petit bruit ou un simple geste, c'est simple et efficace, car l'imagination de Lovino fait le reste. Il s'en est sans doute fait une personne à dos, mais qu'importe : il est une connaissance d'Arthur, et rien que ça, ça amenait le jeune homme à revenir vers lui. Il s'avère même qu'ils ont tout les deux un passé commun avec la drogue, mais la carapace d'innocence de Lovino ne permet pas d'en apprendre plus. De toutes façons, il est très bien tel qu'il se montre : peureux et sensible.

Luciana

L'assassin

« C'est la première fois qu'une de mes victimes revient à la vie... »
« Je voulais te remercier. » Luciana est entré dans sa vie aussi vite que dans la salle commune de l'asile. Alors certes il a partagé les plaisir de la chair avec elle juste une fois, mais non ce n'était pas son corps qui l'intéressait, mais son don. Veuve noire qu'elle est, il n'avait d'intérêt que pour le pouvoir mortel qui l'a d'ailleurs déjà tué une première fois. Manque de bol, celui-ci est revenu, mais au moins il a pu en profiter pour la remercier pour ce petit cadeau. Elle partage ses idéaux sur l'existence d'Oliver, et est d'ailleurs bien la seule à prendre ses illusions au sérieux. Elle a beau être son assassin, ils s'entendent comme les complices d'un crime. S'il a besoin de parler d'idées un peu noires, elle semble être la parfaite interlocutrice. L'immoralité les lie, et pourtant ils restent des personnes très calmes. Peu importe les événements précédents, ils étaient de... « bons amis ».

Leah

Le mystère

« ... »
« ... » L'ange de la mort. Il ignore que c'est elle, mais elle joue un rôle important dans son existence. Elle lui ôte ce qu'il désire, et en même temps, l'aide dans sa quête. Arthur n'abandonnera jamais, ainsi le dit ange le verra souvent. Reste à savoir lequel des deux sera las avant l'autre...
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