1952. L'asile de St. Dymphna accueille de nombreux patients, meurtriers, malades ou même sorcières de toutes origines. Et vous, pourquoi êtes-vous ici ?
 
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"My lips are the gun ; my smile is the trigger ; my kisses are the bullets : label me a killer."

Marlene Køhler
Localisation : Entre tes jambes
Statut : "Axe gal", nymphomane
Messages : 22
Date d'inscription : 19/02/2016
Membre





Marlene Køhler
Membre
Jeu 10 Mar - 21:49



Présentation

"You could be the corpse, and I could be the killer" ~♫



Identité


Nom(s)

Køhler

Prénom(s)

Marlene

Date/lieu de naissance

05/06/1926, à Copenhague, DK
Sexe

F

Ethnicité

Caucasienne

Cheveux

Blonds
Yeux

Bleus

Taille

173 cm

Poids

64,5 kg


Dossier médical

Diagnostic psychiatrique

Fausse couche, homosexualité, hystérie, masturbation excessive, nymphomanie, perversions, meurtre, morale altérée

Autres pathologies

/

Précautions de traitement

Camisole la nuit.


Arrivée à St. Dymphna

“Regarde-moi, lui dit-elle. Regarde-moi bien une dernière fois, parce que je ne serai plus jamais pareille.”
Elle caresse son ventre encore plat, et il l’enlace par derrière, plaçant une main calleuse sur ce qui sera bientôt leur enfant, l’accomplissement d’un amour. Bientôt, elle aura un corps de femme, un corps de mère, alors il la regarde, grande, fine, blonde ; il regarde ses jambes fuselées, sculptées par le cyclisme ; il regarde sa peau pâle, recouverte de tâches de rousseur en divers endroits, tellement qu’il a arrêté de les compter. Il regarde sa main gauche, à laquelle figure un anneau, symbole de leur union.
Puis elle se tourne, et il regarde son visage. Il caresse sa joue, fait glisser ses doigts sur sa mâchoire à peine carrée, puis dans son cou. Son nez n’est pas tout à fait droit, et il sait qu’elle ne l’aime pas, bien qu’il s’évertue à lui dire qu’il lui sied et lui donne un air mutin.
Elle bat des cils, et lorsqu’il regarde dans ses grands yeux bleus comme l’océan qu’elle affectionne tant, il sait immédiatement ce qu’elle veut. Elle frissonne, il sourit, et elle le lui rend. Ses dents sont blanches et bien alignées, et il aime la charrier sur ses canines pointues dignes d’un vampire assoiffé de sang.


“Marlene Køhler, vingt-six ans, répète platement la nonne dans son bureau, remplissant un dossier médical.
- Ohh, j’aime quand tu dis mon nom comme ça”, soupire la jeune femme en croisant les jambes d’un air séducteur.
La soeur relève les yeux d’un air passablement agacé, et Marlene sent bien qu’elle tente de l’intimider ; mais, fidèle à son tempérament fier, elle refuse de baisser les yeux.
Visiblement mécontente, la nonne tourne les pages du dossier avec agressivité, et la danoise profite de ces quelques moments de calme pour imaginer ce qui peut bien se trouver sous cet uniforme à la fois si prude et si tentateur.
Elle jure dans un souffle et se dandine sur sa chaise ; elle mouille.
“Apparemment, votre principal motif d’admission est le meurtre.
- Allons chérie, ne fais pas comme si tu ne me connaissais pas, s’esclaffe-t-elle. Ma réputation n’est plus à faire, les journaux m’ont même donné un petit nom, Axe Gal a fait la une pendant des mois, et je suis certaine que tu n’es pas fermée d’esprit au point de ne pas lire les journaux...L’es-tu ?”
Elle s’appuie sur le bureau, usant de son charisme, et prenant bien soin de mettre sa poitrine en avant, rehaussée grâce à un peu de triche. Un sourire pervers étire ses lèvres rougies par l’usure.
“...Ou peut-être préfères-tu ouvrir les jambes ?”

“Je saigne, pleure-t-elle. Tout ce sang, c’est notre bébé, je n’arrive pas à arrêter le sang, mon bébé, mon bébé…”
Il pince les lèvres tandis qu’il la berce dans ses bras, tremblante. Il souffre, lui aussi. Il sait que Marlene a toujours rêvé d’avoir des enfants, qu’elle aurait été protectrice, douce, aimante, et il sait que cet enfant lui dégouline entre les jambes.
“Tu as froid ?
- Oui, gémit-elle, et sans doute s’imagine-t-elle berçer son enfant dans ses bras pour se réchauffer.
- Je vais aller couper du bois dans le jardin, et ensuite j’allumerai la cheminée.”
Il fait mine de se relever, mais elle le retient.
“Non.
- Non ? répète-t-il, surpris.
- Je vais le faire.”
Encore ensanglantée, elle se redresse tant bien que mal, et il voit dans son regard cette détermination, cet entêtement, cette impulsivité qui parfois lui fait peur.
Elle titube jusqu’à la porte de derrière, il hésite à la suivre, mais il sait qu’elle a besoin d’être seule, et qu’elle va défouler toute sa colère, frustration et douleur sur les bûches.
Il marche jusqu’à la cuisine, et se fait un café ; et lorsqu’il est sûr qu’elle est dehors, il s’autorise à sangloter lui aussi.


“Tu seras punie pour ça.
- Je savais bien que les nonnes aimaient le sexe un peu débridé. Mais ne t’en fais pas, chérie ; moi aussi, et crois-moi que je saurais te satisfaire.”
Elle mime le geste d’un cunnilingus avec un petit rire narquois et finit par s’affaler sur le dossier de sa chaise en voyant la soeur prendre un rouge assez intéressant pour son propre amusement.
“Oh, un peu d’humour, ma grande. C’est cool l’humour, j’aime ça. Presque autant que le sexe.
- Tu n’es qu’une sale chienne, fulmine la religieuse en se dirigeant vers un placard derrière Marlene.
- Il va vraiment falloir que tu te calmes, bébé. Je vais finir par avoir besoin de changer de culotte.”
Elle marque sa réplique par un autre ricanement et croise de nouveau les jambes dans le but de calmer la chaleur entre ses cuisses.
“Nous savons comment nous occuper des gens un peu trop...affectueux, ici.”
La nonne fait claquer le fouet et le sourire de la danoise s’agrandit.

Le souffle court, elle jette un regard circulaire autour d’elle. La hache dans sa main tremble et il lui semble que bientôt elle va s’écrouler, mais l’adrénaline la grise et la tient encore et toujours debout, tout comme elle continue encore et toujours d’abattre l’arme sur le corps défiguré et aussi rouge que sa nuisette et le sang séché sur ses cuisses.
Elle finit par s’écrouler et la hache s’échoue au sol avec un écho désespérément fort. Marlene crie, hurle, submergée par le chagrin et la douleur. Elle regarde ce qu’il reste de son mari, de ce qu’elle en a fait, et se demande vaguement comment elle va faire pour nettoyer tout ce sang et ce qu’elle fera du cadavre. Elle ferait tout aussi bien de le manger, et d’enterrer les os sous la terrasse. Elle le regarde, et le chagrin est remplacé par la haine pour cet homme qui n’a pas su lui donner un enfant.
“Tu n’es qu’un connard qui baisait mal, crache-t-elle en s’essuyant les yeux. Tu n’as eu que ce que tu mérites. Tu m’as pris ma liberté en m’épousant, et tu n’as pas su me donner ce que je voulais.”
Elle répète encore et encore qu’elle le déteste, et bientôt elle semble être en transe. Elle saisit la hache, se redresse, et décapite d’un coup sec et terriblement précis feu son mari.
Elle distingue encore ses traits hormis le sang et les yeux révulsés, et elle attrape la tête par les cheveux. Elle la contemple avec dégoût en se rappelant que cette chose n’a jamais voulu aller entre ses jambes, mais lui claque tout de même un baiser d’adieu qui lui laisse un goût de fer sur les lèvres. Elle la lâche et il lui semble que quelque chose s’est brisé au contact du sol. Elle se tourne ; et
il est là.

La nonne la frappe de plus en plus fort dans l’espoir de la calmer, mais Marlene semble ne plus vouloir s’arrêter de gémir. Elle ne s’est jamais cachée ni de sa nymphomanie ni de sa nature provocatrice, et ce n’est pas dans un asile qu’elle va commencer à le faire.

“Pauvre catin !”
La soeur jette la cravache au sol dans un geste de rage et d’impuissance, et la danoise, auparavant penchée sur le bureau, s’y assied.
“Alors, chérie ? On ne t’a jamais dit qu’il fallait finir ce qu’on avait commencé ?”
Elle ne peutt s’empêcher de se délecter de la haine et du dégoût sur le visage de la religieuse, et décidant de pousser le bouchon plus loin, elle relève sa robe et écarte les jambes, avant de glisser une main vers son entrejambe trempé.
“J’adore les uniformes, surtout portés par des jolies filles comme toi. En fait, j’adore les filles, soupire-t-elle en continuant de se caresser. Mais une petite sauterie avec un homme de temps en temps pour ramoner la cheminée, ça peut toujours être utile, tu sais ? C’est pour ça que j’avais Berwald. De bons goûts en décoration, mais aussi en baise. Tu n’aurais pas une cigarette pour moi, bébé ? J’aime bien fumer après un orgasme.”
La religieuse la gifle, et Marlene sait que le jeu est fini.
Elle rabat sa robe, s’assied sur la chaise, croise les jambes et pose ses mains sur ses genoux, bien sagement, avant que la soeur ne lui attache un bracelet au poignet avec entre autres, le numéro qui serait sa nouvelle identité.

“Qui es-tu ?” demande-t-elle, menaçante, prête à l’abattre.
L’homme ne répond pas. Il se contente de regarder le massacre et d’ajuster ses lunettes sur son nez.
Marlene se rue sur lui mais il la saisit, et lui tordant habilement le poignet, lui fait lâcher son arme dans un léger cri de douleur.
Elle lui jette un regard noir et s’apprête à le frapper à la force de ses poings, mais l’homme intimidant se décide enfin à parler.
“...Juste un amateur d’art et de décoration.”
Elle le regarde avec incompréhension mais ne peut rien lire dans ses yeux bleus et glacés, et tout s’enchaîne vite ; il lui propose d’être sa fournisseuse, et il promet de la couvrir en échange ; il lui dit qu’il a besoin d’un nouvel abat-jour parce que l’ancien s’est flétri, et qu’il est sûr de pouvoir enfin rendre son mari utile ; il lui explique qu’elle aura la gloire, la satisfaction, et l’occasion d’améliorer son don à la hache. Elle prend la main qu’il lui tend et la serre, et elle sait que c’est un pacte entre deux diables.


Elle se relève, époussette sa jupe, et “guidée” par les surveillants de l’asile, elle franchit le seuil de la porte. Elle croise le regard de Berwald et lui décoche un sourire en ébouriffant machinalement ses cheveux courts.

“Je l’ai chauffée pour toi.”


Le joueur

Nom/pseudo

Kikki ou Danette

Âge

17 ans

Comment avez-vous connu le forum ?

En le créant à coups d'headcanons avec Sue, cachée sous la couette devant AHS

Un dernier mot ?

GNNNHHH le testigueule 3:D

© APH Asylum

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